Ces révélations ne font que de confirmer les observations et les hypothèses de travail du grand dissident Marocain Ahmed Rami, qui vit en exil en Suède depuis 1973 suite au deux coups d’état raté. Dans ses livres, il affirme que le général Oufkir lui avait confié beaucoup de choses concernant l’étonnante proximité du Makhzen avec le sionisme.