Homosexualité : des collégiens obligés de travailler sur la comédie musicale Roméo et Julien !
5 février 2017 14:53, par Robespierre
Les gosses de pauvres, maintenus incultes et peu habitués au travail — surtout pas de devoirs à la maison, que les riches aient le temps de prendre des cours particuliers — auront leur brevet et leur bac de justesse, grâce à des consignes de notation « bienveillantes ». Ils iront ensuite se fracasser dans le supérieur où l’organisation d’une journée de la jupe n’aide pas à décrocher les partiels.
Ceux des classes un peu mieux nanties continueront de creuser l’écart, ne serait-ce que linguistique, avec les ilotes abêtis incapables de conjuguer correctement et tenus en échec toutes les cinq lignes d’un texte un tant soit peu littéraire par un mot « difficile ». On aura ainsi la certitude d’avoir un prolétariat en haillons docile et suiveur.
Quant au formidable « marché de l’enseignement » il se développera d’autant mieux que des traîtres se seront consciencieusement appliqués à avilir l’école gratuite du peuple. Ainsi de médiocres marchands pourront vendre a prix d’or à quelques privilégiés ce que l’on offrait auparavant à tous. Et vive la démeuhcratisation de l’enseignement.