Santé : tout ce qui change le 1er janvier 2017
2 janvier 2017 15:47, par CalyAu sujet des dons d’organes, le business est déjà en cours en vérité, parfaitement légal et bien organisé. Un business qui tient en 3 syllabes : Le Collagène !
Vous devez savoir que dès lors que vous êtes donneurs d’organe vous devenez en même temps donneur de tissus.
Le collagène commercialisé, largement utilisé par l’industrie pharmaceutique et cosmétique, le monde de la chirurgie esthétique et bucco-dentaire…
Jusqu’à présent, c’était généralement les restes bovins ou marins qui servaient à la fabrication de cet élixir de jeunesse. Le problème c’est qu’il est absorbé par le corps humain en environ 3 mois. Les résultats ne sont pas durables.
Heureusement, nos spécialistes ont trouvé la solution. La nouvelle technologie Alloderm® (tutoplast ®), comme nous le dévoile, sans tabou le Centre dentaire Poirier Dentaire et Ass. :
« Le tissu Alloderm est conçu grâce à un processus breveté de lyophilisation. À partir de dons de tissus humains traités, toutes les cellules sont retirées et seule la matrice régénératrice de collagène est conservée. Ensuite, nous pouvons procéder à la greffe, ce qui fait que le processus d’auto-régénération des tissus du receveur est initié.
Ce type de tissu est couramment utilisé autant en dentisterie qu’en pratique médicale lors de chirurgies plastiques ou reconstructives. Conçues à l’origine pour traiter les patients souffrant de brûlures, ces greffes sont maintenant utilisées en chirurgies générales, orthopédiques, urogénitales ainsi qu’en chirurgies dentaires. Depuis leur lancement en 1994, plus de 750 000 greffes de tissu Alloderm ont été utilisées sans qu’aucun cas de transmission de maladie ne soit déclaré. (http://www.poiriertremblay.com/gref...) »
Et d’où viennent les cadavres en questions ? En Europe Occidentale, on a pour habitude de narrer les horribles coutumes chinoises, sans jamais parler de ces propres travers. Chacun aura déjà entendu parler de ces condamnés à mort dont les restes mortels sont utilisés pour la fabrication de cosmétique…
Mais qu’en est-il de la situation en Europe ? A moins que les dentistes et chirurgiens ne travaillent qu’avec les prisons chinoises, il y doit y avoir d’autres fournisseur, plus près, plus fiables, surtout en ce qui concerne les normes de qualité du produit !