Dieu me pardonne, mais j’ai eu la même réaction, en visionnant le ’’débat’’ que celle qu’avait le Général de Gaulle quand il feuilletait le Journal le Monde-qui lui était notoirement hostile : j’ai ri, mais jai ri...
A part cela, je partage l’opinion de Conversano sur le caractère inassimilable et exogène de l’immigration qui s’est installée en France, mais la limite et la faiblesse ontologiques de son discours est que, jamais il ne remonte aux origines, aux causes :
le plan de destruction de la race européenne de Coudenhove-Kalergi, l’un des pères du mondialisme et du génocide européen,
La duplicité de la gauche française dont les pères fondateurs comme Jules Ferry et Léon Blum ont été des théoriciens de la colonisation ;
Il suffit de les citer , Ferry :’’Je répète qu’il y a pour les races supérieures un droit, parce qu’il y a un devoir pour elles. Elles ont le devoir de civiliser les races inférieures... ’’,
Blum :’’le devoir des peuples civilisés est de mettre dans leurs rapports avec les peuples barbares la plus grande longanimité, celle d’une race supérieure qui ne conquiert pas pour son plaisir’’ ;
A la suite de quoi, la Gôche, surtout socialiste, non contente d’être devenue anti-colonialiste- en apparence - est rendue férocement immigrationniste- en phase en cela, curieusement avec le grand capital- Georges Marchais avais dénoncé cela à Montigny-les Cormeille en février 1981 (https://www.youtube.com/watch?v=nsC...).
Tout cela a été théorisé, expliqué patiemment par Alain Soral et les personnes de la mouvance nationale comme Pierre Hillard ;
On peut donc, sans problème, reprocher à Conversano de vouloir supprimer les effets, sans s’attaquer aux causes, ce qui est une démarche ni saine, ni mature...