L’Heure la plus sombre n°20 avec Alain Soral (rediffusion)
19 juillet 2016 11:06, par nicolasjaissonUne guerre civile ne peut avoir lieu qu’entre deux camps qui sont également déterminés à l’emporter par tous les moyens violents à leur disposition. Or Soral nous explique à longueur de vidéos que le Français de souche est efféminé par l’emploi salarié et la féminisation des moeurs, ce qui implique un manque d’aptitude certain au combat armé contre un camp rival désireux d’en venir aux mains. Car il n’aura pas échappé à notre observateur que le Français a été désarmé par son gouvernement au lendemain de la seconde guerre mondiale, alors que les forces de police mettent régulièrement la main sur des caches d’armes dans les banlieues immigrées. Donc la guerre civile me paraît de a priori difficile à enclencher dans un Occident qui a perdu l’habitude de se battre physiquement depuis que la technocratie s’est emparée de tous les rouages de contrôle qui enlève à l’individu sa capacité de défense autonome. Par contre les réseaux criminels ont eu toute latitude de se développer sur le territoire national, à cause de la complicité active de gouvernants tirant la légitimité du monopole de la violence par l’entretien d’une menace largement factice. J’en veux pour preuve que les milliers de viols de femmes allemandes par les "migrants" n’ont pas débouché sur des réactions d’une ampleur telle que l’on puisse parler d’un semblant de début de guerre civile en Allemagne. Preuve que l’Allemand a singulièrement perdu de sa combativité par rapport à une période récente qui s’est distinguée par des démonstrations théâtrales de virilité guerrière. D’ailleurs des mouvements comme Pediga ont été dénoncés par E&R comme des provocations de l’Empire visant à attiser les haines entre les "communautés".Ce terme de communauté est d’ailleurs hautement révélateur car il masque les identités nationales perdues dans un conglomérat de groupes ethnico-religeux tenus en laisse par un Etat totalitaire disposant de moyens de surveillance tels, qu’ils dissuadent par avance toute tentative de rébellion armée contre l’ordre cosmopolite organisé. Donc de guerre civile il ne saurait être question autrement que dans le cadre voulu et déterminé par l’Etat sans lequel aucune initiative de lutte armée n’a de chance de déboucher sur des résultats concrets. Par contre l’effondrement social sous la pression de la finance prédatrice est une réalité autrement plus dangereuse, que la fiction terroriste, aussi médiatique soit-elle. C’est cette menace que l’Etat s’emploie à contrecarrer par la guerre extérie