Mais pourquoi donc vouloir à tout prix remplacer le machin UE par un autre ?
Pourquoi vouloir une structure supranationale même si elle respecte les peuples, les nations et leur souveraineté ?
Les nations sont assez grandes pour établir entre elles des traités commerciaux ou de collaborations diverses, que ces traités soient bilatéraux ou unilatéraux.
Dans ce cas pourquoi vouloir rester exclusivement dans un jus européano-européen ?
Pourquoi risquer à nouveau la constitution de grands blocs, pourquoi rejeter d’emblée la multi-polarité plus respectueuse de l’Ordre Naturel des Choses et meilleure garante d’un certain équilibre mondial ?
Pourquoi invoquer la sécurité alors que la majeure partie de "l’insécurité" est justement intrinsèquement liée au machin UE et au rejet de la multi-polarité.
Quant à l’économie, ne pourrait-on pas y réfléchir sereinement en évitant ces réflexes pavloviens de compétitivité, de croissance et de taxes diverses et (a)variées ?
Quitte à repenser l’avenir, allons-y gaiment, carrément et ne restons pas bloqués sur des horizons indépassables et auto-imposés. Jusque là il y avait le valeureux et gentil Etienne Chouard, maintenant c’est au tour de Jacques Sapir de s’embourber dans les mêmes ornières.
De l’air, de l’imagination, de la création bon sang de bonsoir !