Israël est confronté au même phénomène migratoire que les pays occidentaux, avec cette différence que ces derniers, même au Front, pour traiter de ce problème, ne mettent pas la "pureté raciale" comme terme de l’équation. Personnellement, je ne désire pas que mon pays soit envahi par des masses afro-arabes, non parce que cette invasion mettrait en péril je ne sais quelle "pureté raciale", mais mon identité, ma culture, le fait que je suis tel que je suis sur la terre qui m’a vu naître ; je sais, par ailleurs, que si mon peuple est constitué d’une base ethnique de souche ( homogène depuis le néolithique ), s’y est encore agrégé depuis quelques décennies, des éléments étrangers : italiens, portugais, polonais, et magrébins depuis les funestes années 70, et cela pour complaire au grand patronat, et que la plupart de ces gens sont devenus français de cœur ; c’est peut-être, et même sûrement, la différence qu’il existe entre nous, hommes d’Europe chrétiens, et ces germano-slavo-magrebins, intitulés juifs, qui se sont installés en Palestine : on devient français ou allemand ou italien par le CŒUR, pas par le sang. C’est pourquoi nous sommes si nombreux à ne plus supporter les leçons d’antiracisme données par les tenants d’un racisme "sacré", bien plus hideux, à la réflexion, que le racisme biologique que la science peut battre en brèche. Le racisme "sacré" est irrationnel, théologique, érigé en dogme, il est viscéral et fanatique. Il découle de "l’élection".