(suite) Un système de conseil des sages chargé des questions de la chose publique et du bien commun, et constitué des plus aguerries de ces citoyens (les vieux) serrait élu (pour une période de 10 ans) par les français non (ou pas encore) citoyens du cantons puis de la région où ils résident pour les représenter auprès du pouvoir central (principe de république démocratique) en la personne du roi lui même soumis à la logique de mérite.
Il pourrait transmettre sa royauté par lignage à l’un de ses fils à condition que celui-ci se soit distingué par son mérite. Etc, etc...
L’église tiendrait le rôle de scellement spirituel de la nation et reprendrait ses missions de conseil, éducation et d’hospitalité. En cas d’incapacité du ou des fils (ou filles) à succéder au père (par lâcheté ou faiblesse) la terre redeviendrait une métayerie au profit d’un système communal mais la famille pourrait continuer à l’exploiter et y vivre sur une génération et jusqu’à ce qu’un autre prétendant (de cette lignée ou pas) acquière ses droits.
Le roi serait contraint de consulter et d’être à l’écoute des conseils des sages car ce serrait eux qui représenteraient à la foi les citoyens donc le gros de l’armée et les non-citoyens. Ce qui garantirait l’équilibre de la nation et des pouvoirs. Un roi dans l’incapacité de léguer à un héritier digne de ce nom (mérite au combat, études de haut niveau, implication dans la vie de la cité,...) verrait sa dynastie s’arrêter au profit d’une autre issue d’une famille prétendante. Et en temps de paix pour éviter stagnation et magouille au sein de la royauté un grand tournoi (ça évite les vrais guerres) remettrait le royaume en jeu toute les trois générations (par exemple).
On peu toujours rêver, je suis pessimiste car je crois que le français 2.0 n’aime pas l’idée de mérite.