Le chômage de masse : une bonne affaire
15 janvier 2016 17:34, par nanalouBonjour, j’arrive au bout d’un an de chômage (ancien militaire) et toujours le même chemin de croix pour trouver du taf.
Après une formation auto-financée (pôle emploi n’a pas voulu aider prétextant qu’il y a pas assez d’argent et trop de parasites chômeurs) qui n’a débouchée sur aucun boulot car la formation c’est jolie sur le papier mais s’il y a pas de possibilité en recrutement derrière, vous pouvez toutes les avoirs... alors que c’est de contrats que les entreprises on besoin pour recruter. Donc oui ça fait baisser les chiffres du chômage quand vous êtes en formation c’est tout.
Quand je cherche du taf, c’est la frustration complète. Des jobs très simples où l’on demande x années d’expérience + diplômes inappropriés (dernière en date : agent parcs et forêts, votre mission consistera à la récolte de feuilles et tonte de pelouse, BTS+2 années d’xp obligatoire...)
Le syndrome d’une société sur-diplômé ou le patron pour un poste simple à 100 gars qui postulent et il embauchera le plus diplômé pour tenir un ballet, ou écrire sur l’ordi. Les autres dégringolent dans l’échelle sociale...
Alors que pour la plupart des taf il suffit d’avoir la qualité millénaire et innée chez l’homme, qui est le mimétisme, on vous montre vous répétez. Vous faites l’affaire diplômes ou pas, on vous garde, sinon vous dégagez.
La j’ai mon rdv pôle embrouille cette semaine, je vais voir le baratin qu’on va me sortir...
Heureusement, j’ai une compagne admirable, je fais du sport et me cultive intellectuellement, dernier rempart face à cette pression fatigante.
Courage.