Fleur Pellerin, artisan de la destruction du patrimoine français
28 octobre 2015 19:45, par Themistocles(suite et fin)
Bilan trentenaire
Pendant 30 ans, ces conseillers et inspecteurs légitiment la place de New-York et détruisent la place de Paris.
Leur budget d’achats d’œuvres d’artistes vivants est consacré à 60% pour des achats :
• dans des galeries new-yorkaises
• d’œuvres d’artistes vivant et travaillant à New-York.
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Trente ans durant, ces inspecteurs de la création ont eu droit :
• à d’importants budgets
• aux accès privilégiés aux lieux de pouvoir
• aux honneurs de la république
• aux médias et à la fréquentation des mécènes.
Ils ont mis la peinture hors la loi, concurrencé déloyalement le marché de l’art privé fondé sur l’adhésion d’un public amateur qu’ils ont détruit à force de marginalisation.
Pour légitimer rétroactivement leurs choix sur le long terme, ils ont :
1. -avec le soutien de l’Éducation Nationale- préférer initier les enfants à l’AC plutôt que de les former au dessin et à l’histoire de l’art.
2. -dans les écoles d’art prestigieuses- stoppé la transmission des savoirs en supprimant dessin et peinture de l’enseignement artistique supérieur.
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Au fil des années, les collections montées par les FRAC sont devenues pléthoriques entrainant des problèmes de conservation dans les réserves ainsi que des charges de fonctionnement écrasantes.
Les FRAC ne sont pas des musées mais ils doivent acquérir des œuvres pour les exposer au public de façon itinérante (via musées, églises, monuments …) pour déstabiliser le public avant de renvoyer les œuvres à la réserve.
Les inspecteurs de la création des FRAC forts de leur seule "expertise scientifique" achètent des œuvres sans rien consigner par écrit :
1 ni les prix
2 ni l’identité des vendeurs
3 ni le lieu d’achat
4 ni les critères de choix .
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