Si les salles de shoot sont une nouveauté, avant ils faisaient ça juste dans n’importe quel squat ou ruelle à la con.
A Aurillac, tous les ans, on était submergés en été d’une horde de monstrueux connards à l’époque du festival de rue (Un évenement "culturel" qui a tourné au n’importe quoi et qui ramène dans une ville de 25 000 habitants dans un beau coin du Cantal des milliers de punks à chien dégueulasses et autres "gauchistes" qui viennent pour " l’enrichissement culturel" de voir un mec se marrer dans un trombone ou une gamine marcher à poil sur le bord d’une fontaine avec un parapluie en main) ... ce qui fait de cette ville un énorme stock d’héroine, par rapport à sa taille.
Je sais plus qui c’est qui gère ça, des spécialistes de la santé/infirmiers ou des associations, mais ils font la distribution de seringues propres pour que ces parasites envahissants puissent se shooter dans un champ qu’ils squattent et pourissent, ou dans des allées.
Je pense surtout que si la police avait plus de budget, plus de membres, et surtout plus de droits, ça ferait déjà longtemps que la brigade anti stupéfiant aurait mit tout cancer au trou.