Le défi du peuple : survivre au libéralisme
21 août 2015 19:24, par christiane
Charles Robin/Alain de Benoist, deux discours très différents quant à la forme.
En écoutant Charles Robin, j’ai eu très vite le sentiment qu’il était fortement ancré dans la philosophie, j’en ai eu la confirmation par sa déclaration professorale. Son discours est érudit, certes, mais il reste prisonnier d’une pensée par trop conceptuelle et manquant singulièrement d’âme et de flamme, un supplément d’âme et de flamme qui me séduit chez un penseur comme Alain Soral.
Bien que je ne partage absolument pas son paganisme, j’apprécie davantage Alain de Benoist, vivant, incarné, accessible, toujours intéressant. Je le rapprocherai d’un de mes auteurs de prédilection, Dominique Venner (chers internautes, lisez "le coeur rebelle" , un viatique pour tout nationaliste qui se respecte.)