La CEDH refuse de réviser la décision d’euthanasier Vincent Lambert
13 juillet 2015 07:09, par Soldat du Christ...Que dit l’Église sur ce sujet exactement ?
Catéchisme de l’Église Catholique
L’euthanasie
« Non l’Église dit clairement « l’établissement d’un lien sacré que rien durant cette vie ne saurait détruire.eux dont la vie est diminuée où affaiblie réclament un respect spécial. Les personnes malades ou handicapées doivent être soutenues pour mener une vie aussi normale que possible.Quels qu’en soient les motifs et les moyens, l’euthanasie directe consiste à mettre fin à la vie de personnes handicapées, malades ou mourantes. Elle est moralement irrecevable.Ainsi une action ou une omission qui, de soi ou dans l’intention, donne la mort afin de supprimer la douleur, constitue un meurtre gravement contraire à la dignité de la personne humaine et au respect du Dieu vivant, son Créateur. L’erreur de jugement dans laquelle on peut être tombé de bonne foi, ne change pas la nature de cet acte meurtrier, toujours à proscrire et à exclure. Même si la mort est considérée comme imminente, les soins ordinairement dus à une personne malade ne peuvent être légitimement interrompus »
Le suicide
« Chacun est responsable de sa vie devant Dieu qui la lui a donnée.C’est Lui qui en reste le souverain Maître.Nous sommes tenus de la recevoir avec reconnaissance et de la préserver pour son honneur et le salut de nos âmes.Le suicide est contraire à l’amour du Dieu vivant.S’il est commis dans l’intention de servir d’exemple, notamment pour les jeunes, le suicide prend encore la gravité d’un scandale. La coopération volontaire au suicide est contraire à la loi morale. »
“L’Église est intégriste, c’est ça ?”
Et bien je préfère ce que dit ce Catéchisme, que celui de Pierre Bergé et la communauté LGBT, nous propose...
Moi je suis pour toutes les libertés. Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ?
Ou celui de J.Attali...
« Dès qu’il dépasse 60-65 ans, l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte alors cher à la société ; il est bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement, plutôt qu’elle ne se détériore progressivement »