Londres, première ville au monde pour le commerce de la drogue et le blanchiment d’argent
8 juillet 2015 00:55, par pierre
Si les Anglais blanchissent, les Français eux, consomment. Le plus coupable n’est pas celui qu’on pense.
En attendant cela prouve que les mesures planétaires visant à combattre le fléau, n’ont aucun impact et que les seules victimes des réductions drastiques de libertés bancaires et autres, sont bien les gens ordinaires.
La boucle se boucle quand certains tombent dans la drogue pour échapper (en rêve) à l’asservissement généralisé qui prétend lutter contre la criminalité !
Le remède est évident : abolir toutes ces règles de privations de libertés, réautoriser toutes les transactions en cash (sans aucune limitation), ne jamais demander à quiconque pourquoi il vire, sort, rentre son argent à la banque. Instituer un secret bancaire total, partout, etc...
Bref tout marchait bien en 1910. Les crises se résolvaient par la ruine des banquiers aventureux, et moins par la ruine ou le suicide du contribuable.