Eh bien,les "printemps" de Prague,de Budapest,de Varsovie et de toutes
ces républiques du bloc soviétique,"libérées" par le traître gorbatchev,
n’ont qu’à goûter aux "délices" que la mafia sioniste occidentale,leur a fait
miroiter.
Et maintenant,à qui demander secours ? A gorbatchev,lui,il se terre dans sa
planque,et il se moque,éperdument,du sort des peuples des anciens pays
socialistes . Demander de l’aide aux occidentaux ? Il est utopique,pour un
noyer,de demander secours à un bateau en plein naufrage .
Mais,il est une sagesse éternelle,qui dit : il n’y a de pire aveugle,que celui qui
refuse de voir .
Il n’y a,évidemment,aucune honte à reconnaitre ses erreurs,quand on fait
fausse route,de rebrousser chemin et de se mettre sur le chemin qu’on choisit
nous,pour nous mêmes . Le grand Dosteïveski formulait cette sagesse,avec
son génie qui est le sien,dans cette belle et émouvante citation :
"Je préfère me tromper par moi même,que d’avoir raison par les autres."