Les États-Unis piégés par leur propre storytelling
8 février 2015 19:28, par Jérôme2709
Obama est comme Hollande. Il ne sait plus ce qu’il dit. Preuve d’une sionisation générale des esprits. La mauvaise foi à outrance.
Juste une petite remarque ayant trait au langage corporel : Lorsqu’il est assis, Obama croise ses jambes comme une gonzesse (Hollande aussi d’ailleurs) alors que Poutine ne le fait jamais. Féminisation oblige, ce n’est pas étonnant qu’il y ait en ce moment une campagne de sensibilisation dans les transports new-yorkais pour s’attaquer aux incivilités masculines, le " manspreading ", c’est-à-dire le fait pour un homme de s’asseoir comme un homme (Cf Robert : " Le premier devoir d’un homme n’est-il pas d’être un homme ? "). L’Occident pourrit à vue d’oeil jusque dans les détails.
Si au lieu de faire la guerre par peuples interposés les chefs d’État résolvaient eux-mêmes leurs différends sur un ring, je ne donne pas cher de la peau d’un Obama ou d’un Hollande (et que dire d’un Sarkozy ou d’un Valls ?) face au judoka Poutine.