(suite 2).
Quelle horreur, comme dirait Christine Ockrent face à Aymeric Carron à la télévision Françoise. Soral qui passe sont temps à parler des uns et des autres, parfois en bien quand il estime qu’ils le méritent, parfois en mal quand ils ne rentrent plus dans sa grille de lecture. Grille dont j’attends toujours que ses détracteurs en fasse l’inventaire exhaustif pour me dire, moi pauvre con, en quoi elle n’est pas cohérente ou valide. Je veux bien qu’on pinaille ou qu’on diverge sur les solutions, mais il faut me l’expliquer lentement et longuement car je n’ai pas la fulgurance de leur esprit brillant (j’ironise pour ceux qui n’auraient pas compris).
D’ailleurs, en parlant de solutions, je n’ai pas souvenir d’avoir lu ou entendu qu’Alain détenait LA solution finale (oh, oh, oh, faut rigoler les puritains. Et dans puritains, il y putains…). Il y sans doute plusieurs solutions parallèles possibles. mais je m’éloingne de la quenelle…pardon, de la querelle.
Donc, non, Alain Soral n’a rien inventé. Scoop BFM-TV en direct. Par contre, il a synthétisé la pensée des autres, en a tirer un médicament (remonter tout en haut de la page pour en savoir plus) et tente d’ appliquer son onguent sur le malade France. On aura beau penser ce qu’on veut de l’expérience du professeur Soral (il n’a pas le diplôme, mais le diplôme, c’est comme la monnaie : une croyance sur du papier) mais il est le seul à la mener.
Je sais que les Super-Dissidents (bientôt un film Marvel prêt de chez vous) adorent les citations qui les mettent en avant à défaut d’avoir une pensée propre (qui n’est pas l’opposé de sale. Quoique) : pendant que le sage montre la Lune, l’idiot regarde le doigt. Fin.
Bonjour chez vous.