Vladimir Bonaparte Poutine : entretien avec Yannick Jaffré
29 mai 2014 20:19, par sEn réponse à "pff "
Mon commentaire je l’avoue n’était pas forcément dans les commentaires de la bonne vidéo, ni très clair !
Lorsque je dit que Alain Soral et Hervé Juvin font une confusion, ce n’est pas par rapport au sujet dont tu parle, moi je dit qu’ils confondent les 2 France(s) ;
C’est à dire qu’ils expliquent que l’on peut-être français si on adhère de manière individuelle à des valeurs, et cela c’est le principe de la France Patrie des droits de l’homme, celle des
lumières qui s’oppose à la France traditionnelle, ou la civilisation française pour qui l’adhésion au modèle et à l’identité française est quelque chose de collectif .
Dire d’un breton qui adhère au valeur de la France, cela correspond à l’identité de la patrie des droits de l’homme, l’identité de la France traditionnelle demande elle au peuple breton dans son
ensemble à adhérer a l’identité nationale française, et la Bretagne dans ce cas devient un territoire sous souveraineté française puisque un peuple humain est indissociable d’une
terre,sauf effectivement dans le cas des apatrides qui sont des parasites, et c’est pour ce type de gens que je parle de colons, mais il ne décrit pas seulement les gens auquel toi tu fait référence !
Si je devais donner une définition des colons, je dirais que sont des êtres humains, qui
immigrent sur un territoire étranger, qui revendiquent êtres chez eux sur ce territoire, qui ne
partagent pas l’identité de la population locale(si il y en a une), et qui ne s’ouvrent pas ou très peu sur les différences de la population, qui n’assimilent pas ces particularismes, ni ses
pratiques culturelles, mais qui au contraire, imposent les leurs , ce qui définissait d’ailleurs les Pieds-noirs.
Je me souvient en 2004 à l’époque des problèmes en Cote d’Ivoire, des français vivants là-bas avait été évacué par l’armée française suite aux émeutes anti-française après la destruction des
avions de combat ayant bombardés des militaires français, un français vivant depuis 30 ou 40 ans là-bas expliquait qu’il s’y sentait chez lui, qu’il aimait ce pays !
Ce n’est pas la même chose que de dire je suis chez moi, et personne ne peut remettre en cause cela, surtout que justement les ivoiriens qui soutenaient Gbagbo ne considéraient pas qu’ils étaient chez eux(les français), mais chez les ivoiriens !