Constat : prolifération sur la planète des murs hautement technologiques accompagnant les progrès de la mondialisation. Cette mondialisation a débuté par la chute du mur de Berlin, symbole de la guerre froide. Elle se poursuit par l’érection de murs contre les migrants pauvres, les inférieurs. Le mur comme symbole non plus de la guerre d’influence entre deux blocs idéologiques, les communistes et les capitalistes, mais de la guerre économique mondiale qui se joue désormais sur le terrain technologique, particulièrement informatique, non pas entre Etats mais par les multinationales contre les Etats. Il s’agit de contrôler, de dominer, d’exclure, d’éliminer tout pouvoir autre que financier. On est loin du rêve de mondialisation, d’ouverture généralisée, du grand village planétaire. La mondialisation apparaît pour ce qu’elle est : une escroquerie de communicants hollywooodiens au service de la volonté de domination et d’asservissement du plus grand nombre par l’oligarchie financière multinationale dont les plus puissants dirigeants sont les américano-sionistes et leurs alliés. La mondialisation ce serait un monde sans frontières mais avec des murs. Le mur qui accompagne cette guerre moderne n’est que l’habillage technologique de la stratégie héritée du ghetto et du camp de concentration : elle est désormais appliquée par les riches et forts contre le reste du monde qu’il s’agit d’asservir. Mais ils devraient savoir qu’ aucun mur n’est imprenable, que toute belle mécanique peut être enrayée par un simple grain de sable voire une poussière. Il n’y a que la destruction physique qui peut établir une domination totale et définitive du monde. Mais alors à quoi bon si c’est pour se retrouver sur un champ de décombres ? Il semble pourtant que cette réflexion de base soit complètement hors de portée de ceux qui aspirent à devenir les maîtres du monde. Ils n’ont rien d’humain. Mais les humains peuvent les combattre. C’est tout l’enjeu de la politique actuelle : ce ne sont pas des murs qu’il faut construire, mais ce sont bien des frontières qu’il faut remettre en place et des Etats qu’il faut réaffirmer contre les multinationales. Les Etats ont pour mission de protéger leurs population contre les convoitises internes et externes.C’est l’enjeu des prochaines élections européennes : il est temps de faire le ménage et de renvoyer les collabos de l’oligarchie mondialistes et de les remplacer par des patriotes.