Alain Soral sur le militantisme violent
17 décembre 2013 17:45, par CaltechLa violence n’est qu’une histoire de rapport de force, genre le pot de terre contre le pot de fer. Pour l’instant nous sommes le pot de terre mais historiquement la violence est inévitable.
Gandhi a pu utiliser la non violence parce qu’ils étaient des centaines de millions d’Indiens a être non violents et parce qu’ils n’avaient pas en face d’eux de vrais SS...
Petit exemple : si un chat se trouve dans un grenier avec mille rats, il esquivera la chasse et le conflit mais si vous avez mille chats et un rat, je plains le pauvre rat...
(Bon, ça marche pas toujours mon truc car il existe sur cette terre un peuple peu nombreux qui fait trembler tout le monde, suivez mon regard...)
Quand le rapport de force s’équilibrera voire s’inversera (comme la courbe du chômage sous François), je crois que beaucoup parmi nous se feront plaisir en chassant toute cette clique perverse à grands coups de pieds aux fesses et plumes et goudron en sus.
Ce qu’il ne faut surtout pas faire ce sont des martyrs, des victimes car c’est ce qu’attend l’Empire pour nous faire goûter de son bras armé. Ils vont certainement nous chasser, fermer nos sites, nous faire mille tracasseries mais si nous sommes dissous là nous nous reconstruirons ailleurs avec d’autres moyens. Le système ne tombera que par ses propres erreurs et par toutes les erreurs de stratégie contre-productive qu’il fera (par exemple faire de l’antiracisme à toutes les sauces ou produire de nombreux téléfilms sur la souffrance et la persécution de qui vous savez).
On ne peut pas tuer une idée juste en marche.