Entretien avec Domenico Quirico, ex-otage des "rebelles" en Syrie
11 septembre 2013 21:29, par Vaurien
Si je peux compatir avec les souffrances que ce Monsieur a du endurer tout le long de sa captivité, je ne peux pas m’empêcher de penser qu’il est parti imbécile et qu’il est revenu tel. Il n’est même pas fichu de distinguer entre un état de guerre obligatoirement déshumanisant et abrutissant et un état de paix qui offre d’autres latitudes plus humaines et plus riches à moins d’être complètement embourbé dans son égo et son fichu confort. Ou bien un abruti de premier ordre.