Interdiction du voile : une hypocrisie immigrationiste
11 août 2013 10:42, par VaurienJe suis quelqu’un de lobotomisé, crétinisé jusqu’à l’os, complètement entre les mailles du système, en plus de respirer le même air qu’il respire. Je profite du système, du moins des miettes qui tombent de sa table et je suis consumériste à fond la caisse et j’invite tout le monde à consommer tant et autant que leurs budgets puissent le leur permettre. Je ne plaisante pas du tout et je peux vous le prouver, mais si j’ai un conseil à donner un peu particulier ou bizarre diront certains, c’est celui-ci : consommer sans retenue de tout ce qui peut parfaire vos connaissances et peut vous aider à voir plus loin que le brouillard dans nous évoluons et qui nous fait prendre une vache pour un ourson et une souris pour un éléphant. Ceci dit, passons à autre chose. Passons aux émigrés et à leur culture. La culture repose sur une base matérielle et non sur un vide interstellaire. La culture, même si elle est difficile à définir de par tout ce qu’elle peut englober comme réalités diverses et interprétations plus ou moins formulées, plus ou moins conscientes et plus ou moins adéquates, a d’abord une assise sociale et économique sans laquelle elle ne peut exister. On peut ajouter aussi une assise historique, mais ça serait superflu puisque l’assise sociale et économique est elle-même un produit de l’histoire et de la géographie. Dire ou penser que les immigrés viennent avec leur culture est une aberration. Par contre, on peut dire qu’ils viennent avec leur mental structuré par une culture dont ils ont rompu avec son assise social et économique. Comme les émigrées ne viennent pas en conquérants mais en quémandeurs, ils ne peuvent pas donc imposer un nouvel ordre social et économique correspondant à leur mental par la force ou un quelconque moyen puisqu’ils viennent dépourvus de tous moyens pour leur majorité. Donc, de ce qu’ils seraient ou ne seraient pas quoique de leur mental d’origine, il persistera toujours quelque chose sous une forme ou une autre qui peut être positif ou négatif, dépend essentiellement de la société d’accueil. Si la société d’accueil en fait une racaille… . De toute façon, s’il n’y avait pas des émigrés pour jouer à la racaille, ça aurait été les français de souche qui auraient endossé ce rôle comme cela fut par le passé.