« j’ai compris l’inanité d’un métier consistant à enseigner l’"Histoire du fait associatif, XIXe-XXe siècles" à des jeunes dont la moitié n’est pas francophone et dont l’autre ne maîtrise ni l’orthographe, ni la grammaire. »
Je ne vois pas ce qu’il y a de vain là-dedans. Il n’y a nul besoin d’alphabétisation pour transmettre l’histoire des peuples et des luttes sociales et politiques. Vous avez là une vision très élitiste de votre discipline. À moins que vous considériez que les thèmes que vous enseigniez soient un peu trop émancipateurs pour un public que vous semblez mépriser ?