L’architecture "moderne" née des mouvements avant-gardistes, entre autre du Bahaus, a perdu toute notion de frontière culturelle et géographique.
Il s’agit donc de la concrétisation conceptualisée et matérialisée de toute la décadence du mondialisme.
Il en est fini de l’adaptation humaine à l’environnement ; ainsi l’homogénéité architecturale régionale laisse la place à un foutoir éclectique d’esprit débridés et pervers où l’orgueil parasitaire domine en écrasant l’intelligence, le goût, et la témérité de nos aïeux.
Je ne suis pas contre une évolution de la forme, mais encore faut-il s’incliner sur l’idée que l’architecture VRAIE, est, encore une fois, limitée par des facteurs environnementaux et culturels, et, de trop vouloir improviser serait s’en égarer.