« Ce qui a été, c’est ce qui sera, et ce qui s’est fait, c’est ce qui se fera, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. » Qohéleth 1,6.
Mitterrand Frédéric léchait déjà, en 2006, les chaussures de Suzanne Moubarak, épouse d’un futur paria. La place Tahrir et blablabla. Cela mène à tout. De la Thaïlande, en passant par la Villa Médicis, jusqu’au ministère de la Culture. Les cendres de Malraux dorment en paix.
Merci Rance-Cul. Bravo aux organisateurs de ton pourrissement. Ça a dû commencer quelque part avec Laure Adler. La marcescente descente durant laquelle les reportages sur les Roms — en caravanes, pas les mémoires de la culture informatique — et les déambulateurs teintés d’urine des Pieds sur Terre ont supplanté Les Décraqués et les universitaires. Presque plus une journée sans les Juifs ou Israël. Il y eut Jean Lebrun. L’auditeur désormais apprendra à apprécier, chaque mardi, la talentueuse Fourest.
D’université populaire de qualité tu es devenue l’officine propagandiste des Inrockuptibles et de leur horde de jacassant plumitifs incultes. Sacrée dégringolade. L’amateur de romans balzaciens que je suis apprécie. Et s’exile, un Ovide sous le bras.