Profs : la première affectation
24 mai 2013 11:39, par Simone Choule
Cela me rappelle cette "Palme d’or" que fut "Entre les Murs" que j’opposerais à "Gran Torino" car ils ont les mêmes thèmes bien que n’abordant le même sujet.
A la fin d’"Entre les murs", le prof qui essaie d’être "copain" et "djeun’s" avec les élèves ne récolte que des abrutis imbus d’eux mêmes. La fin du film montre une jeune fille qui explique qu’elle n’a absolument rien compris au cours à l’année et a peur d’être inapte au monde qui l’attend.
Dans "Gran Torino", un jeune, gauche et pas sociable, va se voir éduquer comme un homme, à la dure (bricolage et jardinage en plus) pas par un bobo lopétisé mais par un Clint Eastwood "raciste" et "réac". A la fin du film le jeune homme est autonome, tire la gonzesse, sait s’adapter à la vie et au monde professionnel et roule en Gran torino.
Je veux dire : vous avez voulu féminiser l’éducation, vous avez les résultats que vous méritez (et je plains les profs qui ne veulent pas de ce pedagogisme pour "petits chéris" et qui sont obligé de se manger leurs collègues au cerveau atrophié par ces fausses doctrines)