Russie : "Free Pussy Riot" écrit avec du sang sur le lieu d’un double meurtre
31 août 2012 19:23, par Gotfried
Ou alors, il se pourrait que dans le sillage de ces nymphomanes hystériques, il y ait eu des gens aux moeurs encore plus douteuses, probablement toxicomanes au dernier degré, et que sous l’emprise de la drogue, prit d’excitation "révolutionnaire" et "subversive", ils aient massacré ces deux femmes et laissé ce message de liberté, probablement en pillant l’appartement au passage pour se payer de la dope.
Malgré que les seuls chefs d’inculpation qui aient été retenus contre les Pussy Riot aient été l’acte de hooliganisme dans un lieu sacré, L’aberration continue de prétendre qu’elles, ces militantes de la dignité des femmes (qui sentent un peu la volaille dans leurs parties les plus intimes), ont été jeté en prison par l’arbitraire poutinien. L’embassadeur de Russie en France ne pourrait-il pas les attaquer en justice pour diffamation ?