Florian Philippot réagit au rachat du château de Gevrey-Chambertin par un investisseur chinois
27 août 2012 21:58, par Pinot simple éChinePour citer M. Soral "Quand tu te fais mordre par un chien il faut s’en prendre au maître, pas au chien" et bien voilà la diagonale que je trace avec cette histoire de château..
Une seule question en diagonale : Qui leur a vendu le bô chateau aux chinois ?...Un bourguignon
Et qui leur a cédé les bistrots parisiens ? sinon des auvergnats (mais pas qu’eux..avec tout mon respect aux VRAIS auvergnats résistants tels que Monsieur Jean Paul BOURRE en tête de liste).
Et voilà, le scénario bien huilé se déroule tranquillement, les portes de notre patrimoine béantes pour une braderie du dimanche aigre douce.
Et puis Mettons nous un instant à leur place de ces chinois pour le peu stratèges.
Primo : Devant la table en chêne pliant sous le poids des valises, des français imbéciles , avides et assez cons pour nous octroyer leur outil de travail ancestral, ces feu francais nous cèdent des marchés entiers de détaillants bien juteux (bistrots=détail de boisson), et bien par ma natte !..nous les rachetons illico, hardiment grâce à nos petites valises familiales rubis sur l’ongle ça oui !, et nous nous installons à la maniere de la pieuvre argentée, un peu partout dans la capitale..
Au bout d’un certain temps et d’acquisitions, nous représentons donc un lobby : Le lobby des cafetiers chinois...bon passons à la prochaine étape.
Secondo : puisque nous sommes le "lobby des cafetiers chinois", nous nous attaquons à la filière des demi-grossistes, qui alimentent nos cafés. Au pire nous traitons avec eux en faisant pression puisque, néanmoins solidaires, nous sommes..le lobby des cafetiers chinois. Vous suivez ? Alors continuons..
Tertio : En tant qu’influente ou possédant le circuit détaillant et une partie du cartel des demi-grossistes, dame ! Pour quelles raisons ne pas s’attaquer directement à la source ? Vous l’aurez deviné...le terreau français d’où cette subtile boisson est issue.
Quarto : la boucle est bouclée en 2 temps trois mouvements, le terroir cerné et acquis via la trahison franco-française (tiens comme un goût de déjà vu...), des stratèges contrefacteurs de premier ordre se glissant dans notre quotidien par le bas du peuple (le néo-bistrot mandarin bon’dour ing’ ca’fé ? U plass’ an ?..ou em’ po’ té ?) et la démonstration de force par le haut à gros coups de valises géantes.
Même processus pour les enturbannés Qataris, qui n’ont qu’à claquer des doigts pour trouver un gentil français bien huileux du front pour lui rabattre les meilleures affaires.
Bref, Lamentable.