De la même manière, c’est bien grâce à l’exploitation en cuisine des immigrés que le bobo peut continuer à fréquenter assidûment les restaurants pour une note assez modique.
Peut-être mais la qualité en a pris un coup...Je l’avais remarqué il y a déjà quelques années dans les brasseries. Au début je ne comprenais pas pourquoi la bouffe était devenue aussi médiocre avec une cuisine, censée être française, aussi peu reconnaissable. Même un plat simple comme les petits salés aux lentilles était devenu infect. Et en regardant bien dans les cuisines j’ai fini par comprendre effectivement...
Paris est une capitale déserte, peu habitée, et les restaurateurs ne travaillant plus qu’avec les touristes de passage ils s’en tapent de leur servir de la daube.
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