Un fabricant français va proposer un successeur au Famas
18 janvier 2012 22:08, par Deres
Plutôt que de réfléchir entre une arme nationale ou un pur achat sur étagère, on devrait en profiter pour récupérer des activités et du savoir-faire sur les armes légères. Il faut faire comme nos clients exigeants … En échange d’un gros contrat, il faut au minimum demander des contre-partis à hauteur du contrat. Ou mieux, il faut en profiter pour demander une part de la société productrice et la forcer à implanter des unités d’étude et de production chez nous. C’est ce qu’on appelle mettre un pied dans la porte. En plus, c’est comme cela que l’on réalisera une vrai europe de la défense. Je ne vois pas pourquoi ce qui marche à plus grande échelle ne serai pas possible pour des rames légères …