L’image du sacrifice humain et le retour à la barbarie
25 novembre 2011 12:43, par Jasmin Indien
Nous arrivons en cette fin d’année à une acmé, une tension extrême du système qui verra la fin de notre civilisation.
Nous ne voyons pas le Tsunami parce qu’il est sous nos pieds, nous surfons sa crête. Nous assistons à un coucher de civilisation pour paraphraser Michel Drac, effondré de le constater et de l’annoncer lors de sa dernière conférence à Toulouse. Cela n’a pu arriver qu ’après un lent et minutieux travail de sape des bases profondes de nos sociétés. C’est pourquoi ce n’est pas une crise mais un ébranlement gravitationnel. Nous sommes volés et niés dans notre humanité, ce sont des faits indiscutables. Il n’a y plus lieu de déchiffrer par les codes connus, de s’en référer aux anciennes lois, de parlementer. Le déni de démocratie et d’information, le pillage des ressources, l’escroquerie bancaire, la barbarie al quaeda militarisée, sont le modus operandi de cette chaosligarchie. Il y a trangression et inversion du sens et de la réalité. Nous entrons dans un monde invivable, inhumain, où l’issue finale est la mort pour un grand nombre. C’est le règne d’une mafia planétaire sanguinaire qui n’est elle-même que le pantin du Malin. Seul Alain Soral a su le synthétiser en montrant les structures qui soutendaient le tout. La voie est maintenant libre à la bête pour le grand sacrifice nucléaire. Nous ne pourrons plus jamais revenir en arrière.