Michel Collon : "Calomniateurs d’Indymédia Paris et Cie, je vous propose un débat public !"
17 novembre 2011 17:58, par polytriiiqueIndymédia-Paris accuse Michel Collon de frayer avec des gens et des milieux qu’il a pourtant critiqué à de nombreuses reprises, je n’appréciais d’ailleurs pas sa position mais je reconnais qu’au moins elle permet aujourd’hui de montrer à des personnes moins radicales (genre sur la ligne d’Invistig’Action) à quel point la mouvance antifa est d’une profonde stupidité et combien en son sein certains jouent un rôle des plus trouble, ce qui est vraiment une très bonne chose (comme l’était également la diabolisation d’Asselineau qui a montré à un public élargi le niveau de manipulations des antifas), ce dernier épisode concernant Michel Collon me conforte dans mon analyse : plus ça va aller et plus l’extrême-gauche antifasciste va se tirer des balles dans le pied...
Pour ma part ça fait déjà un bon moment que j’ai compris le fonctionnement de la mouvance antifa : une base composée d’idiots utiles dont l’engagement relève autant du militantisme que du hooliganisme (d’où la forte présence d’éternels étudiants et de punks à chiens) avec des instances dirigeantes majoritairement sous contrôle dont la mission est d’oeuvrer dans un sens qui ne dérrange pas l’impérialisme (stratégie de la voie de garage pour canaliser les énérgies contestataires) ou qui l’arrange carrément (stigmatisation forcenée au moindre soupçon d’antisémitisme, lutte acharnée contre le révisionnisme, diabolisation outrancière du nationalisme, opposition stricte au complotisme, violences gratuites contre les bien publics et les forces de l’ordre lors de manifestations, etc.), un fonctionnement qui pouvait passer inappérçu autrefois mais qui se fait de plus en plus voyant à l’heure d’internet, sachant en plus qu’à une certaine époque cette mouvance pouvait trouver une légitimité en s’opposant aux violences racistes des skinheads qui étaient réellement présents dans certaines grandes villes françaises (même si je crois que c’est plutôt la mouvance des Black Dragons qui s’y est massivement opposée), or à l’heure actuelle les skinheads ont quasiment disparu du territoire français et d’ailleurs ils risqueraient pas de se pavaner dans les rues vu la forte présence de bandes d’origine immigrée, ce qui embête bien les hoolligans de gauche qui du coup se retrouvent en manque de bastons antiafcsistes, c’est la raison pour laquelle ils adhèrent volontier au concept d’extrême-droite black-blanc-beur alors qu’il n’a aucun sens...