Le nombre d’élèves en difficultés à l’écrit augmente en France
4 décembre 2011 14:46, par dd
Les conséquences de l’inefficacité de l’école sont un accroissement direct des inégalités sociales. En effet, les élèves issus de milieux difficiles seront les plus pénalisés par l’indigence de l’école : ceux-ci ne peuvent compter que sur l’école pour apprendre. A l’inverse, les élèves issus de milieux privilégiés ont bien d’autres endroits que l’école pour apprendre : milieu plus cultivé, aide des parents, cours particuliers, écoles privés...
Ceux qui n’ont que l’école (où l’on apprend plus rien) pour apprendre sont très mal barrés. Les méthodes des pédago-mongolos de l’iufm n’ont pas disparu : tous ces escrocs sont désormais intégrés à l’université et diffusent toujours leurs méthodes débiles. Pour eux le professeur de français au collège ne doit plus transmettre un savoir, mais est une sorte d’animateur de débat entre élèves autour d’un texte. D’ailleurs à la fin sur leur cahier, les élèves n’ont pas un cours clairement mais rédigés mais "une trace écrite" (sic), un peu comme une trace de pneu au fond d’un calebute, c’est-à-dire quelques bribes de ce qui a pu se dire pendant le séance.
Ce que disent Soral et Michéa à propos des gauchistes idiots utiles du libéralisme est particulièrement vrai dans l’éducation. Chaque coupe budgétaire des libéraux qui haïssent l’école républicaine, s’accompagne de réforme "pédagogiste" pour faire plaisir aux gauchistes niais (enfant au centre ; n’enseigner plus des savoirs mais des "compétences"...).
L’alliance libéraux et gauche niaise (type Sgen-CFDT) détruit l’école méthodiquement ; la majorité des profs voient, mais de façon floue que ça devient n’importe quoi. Le problème c’est qu’à cause des bas salaires (! !! et si, vu la diffciulté des concours comme l’agrégation), le métier de prof n’attire plus les meilleurs (et plus les hommes...), donc des gens moins bons dans leur métier et moins apte à comprendre vraiment ce qui se passe ou plus crédule quant aux méthodes pédagogistes