Un migrant qui naît, c’est un Français qui meurt
1er septembre 19:27, par Ledaron
L’essentiel des mouvements migratoires s’effectuent dans les sous régions, les pays limitrophes à ceux touchés par des conflits ou des catastrophes, absorbent la majorité des déplacés. Seule une minorité veut aller en Occident. La sensation de croire que le monde entier veuille venir en Europe et singulièrement en France obéit à un nombrilisme exacerbé couplé au fantasme de se faire remplacer.
À qui profite le crime ?