Quand j’ai fait ma formation dans le social, j’ai eu des formateurs excellents, (qui travaillaient en foyers Sanacotra, créé en. 1956 pour résorber les bidonvilles)
Ils disaient qu’il y aurait une scission entre le haut et le bas, je n’y croyais pas trop mais pourtant....
Faire l’apologie des populations immigrées, ils ont souffert, sans prendre en compte le quotidien des travailleurs français, je ne trouve pas ça judicieux, beaucoup souhaitent que leurs enfants s’en sortent, ce n’est pas une question liée à l’immigration, c’est une question parentale qui va de soi, on souhaite le meilleur pour ses enfants.
J’entends, je comprends le discours de Monsieur Soral, mais je trouve que nous ne sortons pas d’une lutte horizontale en mettant d’un côté les jeunes issus de l’immigration et de l’autre les jeunes prolétaires français, les chances doivent être égales, on nivelle par le bas toute une jeunesse, qu’elle soit issue de l’immigration ou pas, cette jeunesse a le droit de s’en sortir.
Un ami marocain avec une maîtrise m’a fait lire son mémoire qui portait sur la perte d’identité des populations issues de l’immigration, liée à la figure paternelle qui n’est plus, je pense que les problèmes sont les mêmes alors pourquoi catégoriser,