Rapatriement
La problématique en ce bas monde, est d’avoir galvaudé les termes, enfilé les étymologies.
Chacun entend désormais « rapatriement » comme un retour au domicile : ainsi en est-il des rapatriements sanitaires de « Banzaï ».
Sauf qu’il faut entendre un retour dans sa patrie d’origine. La patrie étant le pays des pères. Si la Terre Promise est celle que D. (le fameux gonze invisible, dont on ne sait rien et dont on ne peut prononcer le nom au point qu’il soit difficile de lui envoyer un recommander avec accusé de réception) a promis aux patriarches et à leur fumeuse descendance racialiste et communautaire, alors que l’on renvoie les sionistes qui prennent cette terre pour la leur, sur son sol : peu importe ce qu’il y pleut du ciel.
Que Tapino Bois de Boulogne se rassure donc, lui qui aime se créer des ennemis : si son pays est la terre promise, alors il se place en tant que tel, en occupant ma patrie tout en m’emmerdant : qu’il aille donc se faire inoculer. Il a un accès communautaire direct aux substances...