Ce qui compte pour Netflix, ce n’est pas la qualité à priori (même si aujourd’hui, les docus sont "léchés" comme des clips de pub), mais l’addiction d’un publuc captif des algorithmes qui dictent les faux choix.

Un Obama au commentaire me donne surtout envie d’aller contempler le vrai minde vivant. Quant au doc sur la cata-caca de la croisière qui merdoie (!), sincèrement qui a vraiment envie de mater la dégénérescence d’un certain monde occidental repu, gras et abruti ?

Relire "Ravage" de Barjavel suffit à se rappeler que la barbarie n’est jamais loin sous le vernis du pire "progrès" vendu aux ombifiés. Le confort pratique a tout bonnement transformé anthropologiquement l’homme en un gros et gras bébé hurlant et pleurnichard totalement dépendant de tous ses "jouets" technos.