Ma tasse de thé se noit dans les beautés du Levant comme du pourtour de la méditerranée, les brunes atypiques étant l’infusion la plus parfaite.
Rima semble disposer des atouts que lui prête le montage photo avec cet autre avantage de se remuer le timbre pour les causes qui sont les siennes, tout en ayant une tête bien pleine. Elle est donc « inspirante ».
L’on perçoit chez elle, cette part un peu « bonhomme », celle chevaleresque valant qualité que l’on admire chez certains archétypes : la joliesse apatride partie des camps, se faisant Jeanne d’Arc de sa Nation en devenir ? Sauf que les Bourguignons du moment, cette fois encore et comme le soulignait F. Mittérand, semblent partis pour une guerre de cent ans : à chaque siècle ? Et que le bûcher s’est modernisé au phosphore blanc...

La seule coquetterie qui heurte mon oreille est sa manière de gratter les “r” du coin, qui ne sont pas des kha. Un détail, en somme...