Qu’on l’entende une bonne fois : la colère, la haine de l’autre, rendent fou. Pas symboliquement. Pas métaphoriquement. Cliniquement.
Celui qui se laisse consumer par la haine, celui qui laisse la colère guider ses mots, ses actes, ses pensées, n’est plus un être rationnel. C’est un déséquilibré. Un esprit dévié, instable, fissuré. Il a cédé sa souveraineté mentale à la bête tapie en lui. À ce moment précis, il n’est plus que le pantin de sa propre déchéance, un jouet pour ses impulsions les plus viles.
Ne cherchez pas à l’excuser. Ne parlez pas de “blessure intérieure”, de “traumatismes non résolus” ou de “contexte social”. Ce sont là des paravents pour masquer une vérité nue : la haine est une pathologie chez les africains du nord, les sous arabes, et ceux qui en vivent sont malades. Dangereusement malades.
Je n’adoucirai pas cette vérité au goût du jour. Vous prétendez être des êtres de raison, mais vous couvez la folie dans chaque rancune que vous chérissez, dans chaque visage que vous méprisez sans cause. Et cela vous détruit.
Vous ne haïssez pas parce que vous êtes forts. Vous haïssez parce que vous êtes faibles. Et cette faiblesse mentale vous mène tout droit à l’hôpital psychiatrique.