Ce qui est marant, c’est que les auteurs de ces harcellements téléphoniques antisémites, de ces blessures antisémites et de ces tags de menace antisémites ne sont pas condamnés à 2 ans de prison ferme, 10 000 euros, 10 ans de privation de droits civiques, révocation de leur emploi, et expulsion dans leur pays, comme n’importe quel non juif qui aurait pu commettre ces agressions, ils n’ont qu’un mois de prison avec sursis, sans amende et les excuse du tribunal.