Complément d’info : un collègue ivoirien m’a expliqué qu’il n’était pas seul à déplorer chez ses "soeurs ivoiriennes" le phénomène suivant : quand elles sont en couple et qu’elles travaillent, la tendance des "soeurs"serait de ne rien consacrer de leur salaire au menage commun et de ne faire bénéficier l’argent gagné qu’à leur personne ET au clan familial dont elles sont issues, les hommes restant seuls pourvoyeurs de la petite cellule.
Certaines "soeurs" dépasseraient les bornes en ne branlant rien dans le ménage niveau tâches domestiques et les hommes enclin à accepter cette redistribution seraient qualifiés de "moutons".