Faire semblant de s’interroger à postériori sur un fait accompli pour valider un ainsi-soit-il.
Le subterfuge, qui consiste à prendre un cas personnel supposé représentatif du supposé débat supposément démocratique pour dénoncer une dérive sociétale organisée sans se soucier de la volonté du bétail humain, est toujours utilisé pour valider une rupture anthropologique une fois qu’elle a été imposée.
C’est comme se demander si les parents qui dénoncent l’intrusion de travelos dans les clubs de lecture et l’intromission de la sexualité dans la psyché des enfants des écoles primaires et maternelles sont des fascistes ou des homophobes.
Dès le départ il s’agissait d’enclencher le processus de normalisation de la marchandisation de la procréation humaine.
C’est juste une étape qui a commencé avec la restriction auto-infligée de la procréation humaine, en échange de l’accès au monde du travail pour les femmes. Cette stérilisation volontaire temporaire a été vendue comme une liberté féminine sous forme de pilule du mois ou de pilule du lendemain, pour protéger les femmes de la maladie de l’enfantement.
L’étape suivante c’est la régulation par l’état du droit à la procréation, pour satisfaire aux critères de crédit social, et en échange de la possibilité de choisir toutes les options du futur produit.
Ceux qui disposent du vrai pouvoir savent que la démocratie et la non-démocratie, c’est juste une question de dressage du bétail humain.
La Chine a été félicitée par toutes les instances mondialistes (ONU, UNESCO...) pour sa politique de l’enfant unique.
Et les Chinois se sont habitués à avorter jusqu’à ce qu’ils aient un enfant de sexe masculin.