François Hollande représente parfaitement la "sociale démocratie" française.
Belliciste, mondialiste, libéral et donneur de leçons, voilà effectivement les qualificatifs qui définissent François Hollande comme incarnation de la traitrise la plus absolue des intérêts de la France.
La sociale démocratie, ce sont les Orléans contre les Bourbons, les Tiers contre le peuple, Guy Mollet partisan de l’Algérie française, François Mitterand qui s’aligne sur l’Amérique et fait la guerre en Irak, Michel Rocard (surnommé Rocard d’Estaing) qui prononce des phrases aussi creuses qu’incompréhensibles. C’est également Sarkozy qui réintègre le commandement de l’Otan pour faire la guerre en Afghanistan et la perdre ; et pour finir Macron qui achève la France avec les dettes, la défense des intérêts des Rothschild et une politique de va-t’en guerre aussi coûteuse qu’inefficace.
Infiniment plus intelligent que Macron, Hollande n’a pas eu la chance de ce dernier de bénéficier des mêmes réseaux qui ont permis de faire émerger notre Cher Leader à ses propres dépends. Hollande est chassé du pouvoir par le clone qu’il a fabriqué lui-même sur injonction de l’État profond (Attali et Jouyet, la courroie de transmission du premier à l’Élysée).
Furieux, il s’assoit sur son amour propre et revient sur la scène politique comme simple député pour espérer revenir en politique. Son physique ingrat trahit sa situation de médiocrité dans laquelle il se trouve désormais.
La chance a tourné pour Hollande. Ses déclarations au Salon de l’Agriculture sont aussi ridicules que celles de Macron sur Tik Tok à propos de Trump.
La "sociale démocratie", c’est la gauche bourgeoise que dépeint Xavier Moreau.