Ce cinoche des années soixante, c’était quand même trop souvent cogneur de femmes fragiles, adepte à l’insulte la plus rabaissante, goujat en bref.
Je sors vite mon flingue contre un quidam ou mon poing contre une jeune femme, avec injure grave, sans compter l’irrespect complet pour les vieilles femmes, vues comme de grosses mémés bornées, en général. Irrespect complet aussi pour les bonnes manières ordinaires, séculaires, sabotées par jalousie, moquées avec ceux qui les pratiquent.
Tout cela préparait l’actuelle société pour voyageurs de commerce et autres maketing boys, et pour le commun si nombreux des téléphages abrutis.
Petit à petit, toutes les barrières du sens commun et de la décence élémentaire ont pu sauter. N’importe quel goujat a pu se faire entendre. L’exemple vient du cinoche.