Né à Compiègne je suis heureux d’avoir appris, juste avant Noël le décret signant, à Rome, la canonisation des 16 bienheureuses Carmélites de Compiègne, guillotinées, en haine de la Foi, le 17 juillet 1794. Jugées la veille, 16 juillet, à la Conciergerie en la fête de Notre Dame du Mont Carmel, leur patronne, elles gravirent avec joie les marches de l’échafaud dressé sur notre actuelle Place de la Nation, offrant leurs vies pour que " la paix civile et la concorde reviennent sur l’Etat et sur l’Eglise"...10 jours plus tard : chute de Robespierre et fin de la Terreur ... comme en 89, la mort de Zita de Habsbourg avait précédé de peu la chute du Mur de Berlin et l’effondrement du communisme !
Jean-Marie le combattant est donc en très bonne compagnie en ce début d’année jubilaire, et , contrairement aux lamentations des nostalgiques ou des déçus je vois, en son passage du 7 janvier, jour rayonnant de la Lumière de Dieu manifesté aux Nations, un grand signe d’ espérance pour tous les nationalistes ! Le Combat spirituel continue, ne baissons pas les bras ;