L’exploit de Macron : avoir expulsé Dieu de Notre-Dame
10 décembre 2024 14:34, par MivilleIl est clair que la cérémonie d’inauguration de la Notre-Dame "built back better" pour prendre l’expression de Klaus Schwab a été une invocation à des forces complètement diaboliques, à en juger par ses fruits immédiats et ses synchronicités dans le monde géo-politique. La débandade du gouvernement syrien au profit et selon la volonté d’Israël montre bien que ce qui vient d’être célébré est une messe noire, une prière bien exaucée pour la plus grande gloire d’Israël tel que l’incarne Netanyahu.
De toute façon il fallait et suffisait pour en arriver à ce résultat de déconsacrer Notre-Dame pour le temps des travaux de restauration archéologique, si consciencieusement qu’ils aient été opérés, et de la reconsacrer ensuite selon le rituel post-conciliaire qui est hautement invalide et se réfère à une église dont l’axiome premier est que les juifs sont frères aînés dans la foi. Il ne faut pas s’étonner que Zélenski et Bernard Henri Lévy aient été parmi les tout premiers personnages religieux à se montrer la fraise. Jusqu’à l’incendie qui motiva une déconsécration temporaire la Notre-Dame restait consacrée selon un rituel pré-conciliaire : l’édifice gardait son âme même si les cérémonies qui s’y célébraient étaient de moins en moins valides et plus du tout depuis la pacha-papauté "vaudouisante" de François.
On peut dire que cette cathédrale est désormais peu ou prou anglicane (une des religions avec laquelle le Concile Vatican II a tenu à mettre l’église catholique à niveau : or c’est une religion diabolique idéale pour dire des messes noires, en même temps que la preuve qu’un rituel peut être d’autant mieux inversé qu’archéologiquement il est mieux copié d’ancien) et au point harmonique du plus court chemin entre le new age des sciences occultes remises au goût du jour par les hippies et du protestantisme américain preacher évangéliste remis au goût du jour par les sionistes. On en a eu la preuve par la musique d’orgue jouée qui était pour moitié de la musique dodécaphonique anti-harmonique à souhait du genre que l’on compose pour célébrer l’Holocauste et ses chambres à gaz (le moment où selon le dogme kabbalistique du Tzimtzoum Dieu prouva son absence de ce monde, déléguant tous ses pouvoirs aux forces du mal en le créant) et pour moitié des hymnes anglo-protestants à la gloire d’Israël et d’un Dieu vétéro-testamentaire dont la deuxième personne de la Trinité est le chef des anges déchus.