Des vessies et des lanternes... oui, ça se ressemblent.

Musk n’est pas le "sauveur" des RS ni même celui qui, avec Trump, "pourrait" sauver le naufrage bien avancé de l’Occident dont l’arrière (l’Europe) est déjà quasi totalement immergé.

Pour la simple raison que si l’on passe de multinationales privées (GAFAM) à Nouvelles Organisations techno-financières privées (SpaceX, Tesla...) le tiers payant demeure le même : les peuples.

Ces derniers sont de toutes façon la masse qui fait tourner le bouzin du dessus. Fussent Musk, Zuckerberg ou Soros, c’est bien la masse anonyme du sous-bassement qui con-somme, paye, s’abonne et utilise la gadgetterie finançée par les "élus" du dessus.

Musk est avant tout un super commercial dont le pif est de savoir renifler les bons gros plans qui juteront un max de fric. Le pseudo autiste qu’il est supposé être est surtout un ado dont le CV nous est présenté comme celui de Macron : un narratif de petit gars courageux qui a su et blablabla...

Idem pour Trump qui, s’il sauve en partie cette Amérique dégénérée qui menace en permanence le reste du monde, n’a que faire du sort de la vieille Europe qui continuera à trimer pour soutenir le MAGA concept en acceptant la tonte sans limite que nos guignols collabos mettent en place dans leur propre pays vassalisé.

Quant à la Silicon Valley, le dernier livre du très socialiste Alain Damasio : Vallée du Silicium, nous raconte ce à quoi ressemble le mode de vie et de travaille de cette vallée où ne poussent plus que des arbres en plastique.

Tout en Amérique n’est plus que "narratif" et le dernier livre de l’inénarrable Schwab et co-auteur Malleret, intitulé LE GRAND RÉCIT n’est qu’une succession de narratifs contenant le mode d’emploi très précis de ce que les relayeurs mondialistes doivent appliquer.

Musk est à lui-seul un gros narratif. SpaceX a pour but de redorer l’image d’une NASA construite sur 80 % de foutaises payées par le public et Tesla, empruntant sans vergogne le nom d’un authentique génie, sert de "booster" aux ventes de véhicules électriques dont la consommation électrique ira forcément en coût croissant afin de remplacer une partie de la perte occasionnée par le moins de gasoil.

Les foules ont toujours eu besoin de maîtres-sauveurs qui, en réalité, sauvent surtout leurs gras intérêts et accessoirement leur insignifiante raison d’être.

Tout le reste n’est que... récit pour enfants aux "eyes wide shut".