Comme toujours, la pensée et le rédactionnel de Félix N. sont remarquables. Un vrai plaisir de lecture !
J’ajouterai que, si nous replaçons ce énième dossier de la folie-meurtrière-organisée-par-un-Occident-qui-n’en-finit-plus-de-sombrer (pardon pour l’interminable formulation ;-), nous comprenons pourquoi il était urgent pour cette organisation criminelle d’inventer le féminisme qui engendra encore pire, le néo féminisme et son délire actuel basé sur la vengeance aveugle et systématique. Faire payer par tous les moyens, quoi...
Un monde en phase terminale qui véhicule l’idée que la population mondiale prolifère trop (prolifération qu’il a lui-même engendrée, soit dit en passant) est un monde qui fait remonter l’autorisation de tuer jusqu’à la naissance de toute vie voire au-delà si possible, n’en doutons pas.
Donner le feu vert et permettre d’avoir bonne conscience ne pouvaient que plaire à des générations de femmes qui enviaient la vie des hommes en espérant un jour faire exactement comme eux... Tuer quiconque entrave son petit ou grand plaisir personnel avec le soutien d’une loi adaptée à cette monstruosité.
L’on se rappellera en passant la petite phrase lâchée par un certain V. Peillon (laïcard acharné et francmac) affirmant que "les enfants n’appartenaient pas aux parents mais à la république" (!). En clair, la ripoublique dispose du sort des enfants sans avoir à demander aux parents ce qu’ils en pensent. D’ailleurs, la nouvelle désignation du père et de la mère en "parent 1" et "parent 2" en dit déjà long sur la neutralisation intégrale de la société et l’uniformisation stérile de ses composants... l’individu étant parfaitement réifié.
Les conséquences funestes de 68 n’en finissent plus de semer la mort de la Personne et enterrent la fonction symbolique du Père et à présent de la Mère. A quand l’enfant 1, 2, 3 ? Une société intégralement numérique ne peut considérer ses membre/composants que comme des variables d’ajustement.
L’infanticide normalisé permet de justifier les nettoyages ethniques en cours et à venir. L’avénement d’une société stérile est sans aucun doute le graal de la religion techno et des labos qui sont en passent de réussir leur propre transformation consistant en la mise en place d’un système économique basé sur le droit de vie et de mort sur n’importe qui au nom de l’indéboulonnable "Moi, ma vie, mon œuvre, ma jouissance".