Toute cette réthorique déguisée derrière le féminisme, n’est que l’eugénisme voulu par le peuple élu pour les autres peuples.
« Si une personne potentielle, comme un fœtus et un nouveau-né, ne devient pas une personne réelle, comme vous et nous, alors il n’y a ni personne actuelle ni future qui puisse être lésée, ce qui signifie qu’il n’y a aucun mal."
C’est ce qui se passe avec Amalek : ce n’est pas une personne potentielle ; d’ailleurs, elle emploie bien le terme de personne humaine -juive- en opposition à personne non-humaine -goy-.
Le goy sans dents (nouveau né ou adulte) n’est pas une personne réelle, car elle est n’a pas de potentiel d’existence, puisque ne pouvant remplir tous les objectifs qu’un véritable humain peut remplir. Il n’a donc pas de droit moral à la vie.
On est en plein pilpoul talmudique, dans la théorie d’Attali, et des "inutiles" chers à Yuval Hariri et Laurent Alexandre.
On comprend donc que le féminisme n’est qu’ un outil du sionisme dont le but est de contribuer à la disparition d’Amalek par la lutte horizontale opposant homme-femme, et par l’eugénisme féminin de l’avortement, qui une fois bien admis pourra être étendu à d’autres champs d’action que l’infanticide (le premier de ceux-ci étant comme indiqué par Attali, les plus de 65ans, qui trop vieux pour pouvoir réaliser des "objectifs", n’ont plus la possibilité de revendiquer un droit moral à la vie.)
Le message est clair, le génocide, c’est pas que pour Gaza et le Liban.