Émission captivante, dont voici une extension possible : par-delà les cris de victoire et les contorsions doloristes dues à la déception, de quoi le triomphe de Donald Trump est-il le nom ?
I / Discrédit et déclassement de la parole médiatique
1- Délabrement de l’impartialité journalistique :
la grossière sous-estimation de l’intelligence critique du peuple
2- Abdication de la vérité, prosélytisme éhonté :
déconfiture des hanounâneries,
déclin du Praudisme intolérant,
naufrage du Malherbisme sectaire
3- Diabolisation des Droites et de la Tradition :
conservateur, le peuple plébiscite les canaux de réinformation alternatifs
II / Détrônement de l’artiste engagé
1- Les encombrantes amitiés des people pro-Kamala avec le dépravé Puff Daddy :
faire élire celle qui enterrera leurs vidéos
2- Quand l’eugéniste Bill Gates sponsorise une néo-Noire sans enfant :
le dépopulateur de l’OMS pactise avec la négresse de maison wokiste
3- Débâcle de la collusion du politique et de l’artistique :
clap de fin du rayonnement et de la parole d’autorité des nantis
III / Banqueroute de la manipulation sondagière
1- Faillite de la psy op du score très serré :
délitement de la conjuration élitaire et de ses manœuvres démobilisatrices
2- Des sondages qui façonnent l’opinion, au lieu d’en rendre compte :
le sondeur et le sondé sont une seule et même personne
3- Limites de l’enrégimentement émotionnel et sondagier :
volé de sa réélection, perquisitionné à domicile, traîné devant les tribunaux, visé par des balles... mais
ÉLU, envers et contre les élites.
Conclusion : Le génie anticipatoire de Alain Soral avait annoncé la révolte des peuples, portant au firmament le candidat anti-oligarchique de la Gauche du travail et de la Droite des valeurs.